18 février 2009

The part about the critics

The thing about the critics is, most of the time, they have no idea what they're talking about. They seem to know, they even think they know but, truth be told, they're just a bunch of phonies. Anyway, I envy them, not the phony part, though, that kills me, but the very idea that reading can be a job and you can work in your pj's laying on your bed is just something to be jealous, isn't it? But, who am I kidding? That's exactly what I do in my career as a failed writer.

So, as I read the papers and blogs and trash every once in a while and have some friends who write too and know the inner movements of this tidal wave that is called literature, I was aware of this Boñalo euforia. When you think about it, is kind of sad that a writer become recognize just after his death and just because of his death: the myth that surrounds the author, the idea of the romantic writer, the living poem (heroin addiction included -of course, an invention of the critics traced back in a misread of one story by Bolaño, as if the word 'fiction' didn't exist). One could reply that is kind of unfair to say such a thing, but it's no news that the Bolaño critic efluvio, at least the critics written in english, started a couple of years ago. Literature, as everything nowadays, is a merchandise, something you buy. And if you want people to buy your stuff, you have to make people interested in your merchandise. So you spread a rumour or two, write some lies and publish them, translate the books and the critics will jump and scream that they have discovered the thing that no one needed to discover because it was just there, in front of everyone who would open his eyes.

I thought I had a point, but now this just seems senseless and useless. As everything else crossing my mind.

The part about the critics, from 2666.

18 septembre 2007

Los falsos

Transcribo esto de otro blog (Teoría del Caos, por René López Villamar):

Hay en México (los ha de haber en todo el mundo) personas que van por ahí diciendo que son poetas o escritores. Son más bien actores que llevan su papel a niveles extremos. No les basta con adoptar la pose y el tono de voz que tienen los escritores y los poetas (que creen que tienen los escritores, se entiende), sino que también escriben. Escriben cosas que parecen poemas, o cuentos, o novelas. Peor aún, las publican. Peor aún, el gobierno les da becas para que escriban sus maravillosas obras que irán a engordar los polvosos anaqueles de las librerías estatales.
Estos pobres diablos no tienen un solo amigo que les diga que no son poetas o escritores. Como cualquier culto fanático, se reúnen sólo entre ellos, entro los que no están dispuestos a revelar el juego. Se dicen unos a otros que pueden cambiar el destino de la literatura (es decir, no saben que la literatura no tiene destino). Se dicen los unos a los otros que su obra es buena, que el último cuento les ha encantado y que deberían publicarlo. Hacen como que leen (auque no lo entienden), hacen como que hablan de literatura. En eso es fácil identificarlos porque hablan de literatura como si los últimos cuarenta años nunca hubieran pasado. Hablan de García Márquez (al que no han leído), de Cortázar (que no entienden), de Sabines (al que según ellos imitan). No saben quien es Philip Roth, ni Don DeLillo, ni Michel Houellebecq, pero tratan de aparentarlo.
No es difícil ubicarlos. Se reúnen en talleres literarios y en lecturas de poesía, en cafés de la Condesa, de la colonia Roma o de Coyoacán, en lugares donde creen que pueden encontrarse con los verdaderos escritores o con los verdaderos poetas. Creen, en resumen, que el hábito hace al monje, que si la mona se viste seda la confundirán con Monalisa, que de tanto escribir poemas o cuentos o novelas, por azar, escribirán al menos uno bueno en su vida.
Pero es fácil detectar a los farsantes. La mirada los delata. Tienen la mirada de un contador, o de un publicista, o de un merolico, pero no la mirada de un escritor; esa mirada profunda y brillante que parece absorberlo todo. Esa mirada no puede fingirse, aunque, de vez en cuando, entre esos grupos de actores y farsantes puede detectarse una mirada turbia, ceniza, como un carboncillo que se apaga.

12 septembre 2007

Le plus long palindrome existant

Trace l'inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Perec. L'arc lu pèse trop, lis à vice-versa.
Perte. Cerise d'une vérité banale, le Malstrom, Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir brisé d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté, cor cruel, nos albatros. Etre las, autel bâti, miette vice-versa du jeu que fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal.
Ivre il bat, la turbine bat, l'isolé me ravale: le verre si obéi du Pernod -- eh, port su! -- obsédante sonate teintée d'ivresse.
Ce rêve se mit -- peste! -- à blaguer. Beh! L'art sec n'a si peu qu'algèbre s'élabore de l'or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l'os nu. Si, à la gêne sècrete-- verbe nul à l'instar de cinq occis--, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, ô il offensé, tire!
L'écho fit (à désert): Salut, sang, robe et été.
Fièvres.
Adam, rauque; il écrit: Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilé, genial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée; l'épeire gelée rode: Hep, mortel?) lia ta balafre native.
Litige. Regagner (et ne m'...).
Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale! Timide, il nia ce sursaut.
Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla:
Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze !
Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois: si, médicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retêter: gercé, repu, denté...) ni tobacco.
Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-né ?
Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t'obsèdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson !
Et nier téocalli ?
Cave canem (car ce nu trop minois -- rembuscade d'éruptives à babil -- admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu'Ariane évitât net.
Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-git. Alpaga, gnôme, le héros se lamente, trompé, chocolat: ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu; ce sacré bédeau (quel bât ce Jésus!). Palace piégé, Torpédo drue si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef.
L'eugéniste en rut consuma d'art son épi d'éolienne ici rot (eh... rut ?). Toi, d'idem gin, élèvera, élu, bifocal, l'ithos et notre pathos à la hauteur de sec salamalec ?
Élucider. Ion éclaté: Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide, julep: macédoine d'axiomes, sac semé d'École, véniel, ah, le verbe enivré (ne sucer ni arreter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ?
Nu, ottoman à écho, l'art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute, vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n'a lu trop s'il séria de ce basilic Iseut.
Il à prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus) rêvés, évaporés:
Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu: O, trapu à elfe, il lie l'os, il lia jérémiade lucide. Petard! Rate ta reinette, bigleur cruel, non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur !
Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire: Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire. . .
Le Phenix, eve de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana: l'Oubli, fétiche en argile.
Foudre.
Prix: Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée,
Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa) niére de mimosa:
Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale;
Volcan. Roc: tarot célé du Père.
Livres.
Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge: ipséité banale. L' (eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei...
Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or, Noël: crèche (l'an ici taverne gelée dès bol...) à santon givré, fi !, culé de l'âne vairon.
Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec). Saluts: angiome. T'es si crâneur !
. . .
Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l'ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses ongulées...
S'il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal (obsédée, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dèdale (M. . . !) ramifié ?
Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'élan abêti: Espiègle (béjaune) Till: un as rusé.
Il perdra. Va bene.
Lis, servile repu d'électorat, cornac, Lovelace. De visu, oser ?
Coq cru, ô, Degas, y'a pas, ô mime, de rein à sonder: à marin nabab, murène risée.
Le trace en roc, ilote cornéen.
O, grog, ale d'elixir perdu, ô, feligrane! Eh, cité, fil bu !
ô ! l'anamnèse, lai d'arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel-base de Vexin. Eh, pèlerin à (Je: devin inédit) urbanité radicale (elle s'en ira...), stérile, dodu.
Espaces (été biné ? gnaule ?) verts.
Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé: canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté, pédicule d'aimé rejailli.
Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville...) tu déconnes. Été: bètel à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir ! Amassez.
N'obéir.
Pali, tu es ici: lis abécédaires, lis portulan: l'un te sert-il ? à ce défi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ?
Oh, arobe d'ellébore, Zarathoustra! L'ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri: Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l'haleine véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé.
Lu, je diverge de ma flamme titubante: une telle (étal, ce noir édicule cela mal) ascèse drue tua, ha, l'As.
Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à reve l'Énigme (d'idiot tu) rhétoricienne.
Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué (pentothal ?), le faiseur d'ode protège.
Ipéca...: lapsus.
Eject à bleu qu'aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital.: palindrome tôt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle. Érudit rossérecit, ça freine, benoit, net.
Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se (nom d'Ali-Baba !) sévit, pure de -- d'ac ? -- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte...
Nos masses, elles dorment ? Etc... Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'égarent. N'amorcer coulevrine.
Valser. Refuter.
Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec: Regret éternel. L'opiniâtre. L'annu- lable.
Mec, Alger tua l'élan ici démission. Ru ostracisé, notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde: celez, apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon! On à écopé, ha, le maximum
Escale d'os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusé! Cain! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté, rengagé) régit.
Il évita, nerf à la bataille trompé.
Hé, dorée, l'Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum: rumeur à la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu qu'Armada serve: if étété, éborgnas-tu l'astre sédatif ?
Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise; l'âge: ni sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cédrats, ni la lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu, la vérole!)
Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu (Galba et Septime-Sévère). Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle l'avare mélo, s'il t'a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t-il, ô, baiser vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la. Morts: l'Ame, l'Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé: Ci va ! S'il porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre: Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'écart.
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Georges Perec, La clôture et autre poèmes

4 juin 2007

El tormento

Todos somos concientes de que un perjuicio sin nombre nos conduce sin nuestro conocimiento, todos somos concientes de que nuestro eterno Tormento nos tiene recluidos en un estrecho recinto que nos impide todo recorrido y que nos produce circunloquios sin fin, discursos inconexos y olvidos, por lo que sufrimos un conocer ilusorio donde se ensombrecen y se oscurecen nuestros gritos, voces, sollozos, suspiros y deseos. Según ponemos empeño en comprender el término omitido, en tener en nuestro poder lo puro sin contornos, se cierne sobre nosotros un odio destructivo.

A la lengua de mi sangre

Mi destino es la lengua castellana...
me fue dada por la sangre y el azar;
vuelvo a ella con nostalgia y felicidad infantiles.
La música de sus palabras me regresa a Quevedo
y a aquellas áureas tardes llenas de su siglo,
a las noches vacías de realidad en que
la vida se convirtió en un sueño de letras.
Pienso en la tímida siniestra tramando
con sus trepidantes criaturas de grafito
los primeros seres deformes que buscaban
imitar a los habitantes de las páginas y
perpetuar la masa inasible que brotaba
de las bocas de todos —que no veía y que sentía—.
He pasado más tiempo contigo que con las otras,
pero mis labios aún te sienten extraña,
un tanto ajena; eres tan mía como de todos,
y tal vez nunca llegues a ser del todo mía
porque no serás de nadie, tan sólo de ti.
Pero te quiero, te quiero aunque no lo quieras
porque eres la compañía con quien hablo,
de pronto, a solas.
H. B.

3 juin 2007

Penser le quotidien

Ce qui se passe vraiment, ce que nous vivons, le reste, tout le reste, où est-il ? Ce qui se passe chaque jour et qui revient chaque jour, le banal, le quotidien, l'évident, le commun, l'ordinaire, l'infra-ordinaire, le bruit de fond, l'habituel, comment en rendre compte, comment l'interroger, comment le décrire? Interroger l'habituel. Mais justement, nous y sommes habitués. Nous ne l'interrogeons plus, il ne nous interroge pas, il semble ne pas faire problème, nous le vivons sans y penser, comme s'il ne véhiculait ni question, ni réponse, comme s'il n'était porteur d'aucune information.